wen.kroy
2008-01-19 20:14:31 UTC
URSS, comprendre la «Révolution trahie» d’hier, construire sa prochaine victoire :
1937 : C'est à la suite de l'envoi de cette lettre qu'Ignace Reiss,
sur le chemin de l'exil pour rejoindre Trotsky et la IV° Internationale
tombera, victime d'un guet-apens commandité par Staline, près
de Lausanne, le 4 septembre 1937.
Ignace REISS -1937- assassiné par Staline :
*******************************************************************************
Lettre au Comité Central du Parti Communiste de l'Union
Soviétique d'Ignace Reiss (Ludwig)
17 juillet 1937 :
« La lettre que je vous écris aujourd'hui j'aurais dû vous l'écrire
depuis longtemps déjà, le jour où les « Seize » [1] furent massacrés
dans les caves de la Loubianka, sur l'ordre du « Père des Peuples ».
Je me suis tu alors. Je n'ai pas élevé la voix non plus pour protester
lors des assassinats qui ont suivi, et ce silence fait peser sur moi
une lourde responsabilité. »
« Ma faute est grande, mais je m'efforcerai de la réparer, et de la
réparer vite afin d'alléger ma conscience. Jusqu'alors j'ai marché
avec vous. Je ne ferai pas un pas de plus à vos côtés. Nos chemins
divergent ! Celui qui se tait aujourd'hui se fait complice de Staline
et trahit la cause de la classe ouvrière et du socialisme ! »
« Je me bats pour le socialisme depuis l'âge de vingt ans. Sur le seuil
de la quarantaine, je ne veux pas vivre des faveurs d'un Ejov. »
« J'ai derrière moi seize années de travail clandestin. C'est quelque
chose, mais il me reste assez de forces pour tout recommencer. Car
il s'agit bien de « TOUT RECOMMENCER :
De sauver le SOCIALISME. »
« La lutte s´est engagée il y a longtemps déjà [allusion à l’opposition
de gauche et à Trotsky, note de wen]. Je veux y reprendre ma place.
Le tapage organisé autour des aviateurs qui survolent le Pôle vise à
étouffer les cris et les gémissements des victimes torturées à la
Loubianka, à la Svobodnaia, à Minsk, à Kiev, à Leningrad, à Tiflis. »
« Ces efforts sont vains. La parole, la parole de la vérité, est plus forte
que le vacarme des moteurs les plus puissants. »
« Les recordmen de l'aviation, il est vrai, toucheront les cœurs des
ladies américaines et de la jeunesse des deux continents intoxiqués
par le sport, plus facilement que nous arriverons à conquérir l'opinion
internationale et à émouvoir la conscience du monde ! »
« Que l'on ne s'y trompe pourtant pas : la vérité se fraiera son chemin,
le jour de la vérité est plus proche, bien plus proche que ne le pensent
les seigneurs du Kremlin. Le jour est proche où le SOCIALISME
INTERNATIONAL [pléonasme volontaire de Reiss, note de wen] jugera
les crimes commis au cours des dix dernières années. Rien ne sera
oublié, rien ne sera pardonné. L'histoire est sévère : « le chef génial,
le père des peuples, le soleil du socialisme », rendra compte de ses
actes : la défaite de la révolution chinoise, le plébiscite rouge [2],
l'écrasement du prolétariat allemand, le social-fascisme et le Front
populaire, les confidences à Howard [3], le flirt attendri avec Laval :
toutes choses plus géniales les unes que les autres ? »
« Ce procès-là sera public, avec des témoins, une multitude de témoins,
morts ou vivants ; ils parleront tous une fois encore, mais cette fois
pour dire la vérité, toute la vérité. Ils comparaîtront tous, ces innocents
massacrés et calomniés, et le mouvement ouvrier international les
réhabilitera tous, ces Kamenev et ces Mratchkovski, ces Smirnov et
ces Mouralov, ces Drobnis et ces Serebriakov, ces Mdivani et ces
Okoudjava, ces Rakovski et ces Andrès Nin, tous ces « espions et
ces provocateurs, tous ces agents de la Gestapo et ces saboteurs »."
« Pour que l'Union soviétique et le mouvement ouvrier international
tout entier ne succombent pas définitivement sous les coups de la
contre-révolution ouverte et du fascisme, le mouvement ouvrier doit
se débarrasser de ses Staline et de son stalinisme. Ce mélange du
pire des opportunismes - un opportunisme sans principes - de sang
et de mensonges menace d'empoisonner le monde entier et
d'anéantir les restes du mouvement ouvrier. »
« Lutte sans merci contre le stalinisme ! »
« Non au front populaire, oui à la lutte des classes ! Oui à l'intervention
du prolétariat pour sauver la révolution espagnole : telles sont les tâches
à l'ordre du jour ! »
« A bas le mensonge du " SOCIALISME DANS UN SEUL PAYS " ! »
« Retour à l'internationalisme de Lénine !
« Ni la II°, ni la III° Internationale ne sont plus capables d'accomplir
cette mission historique : désagrégées et corrompues, elles ne peuvent
empêcher la classe ouvrière de combattre ; elles ne servent que
d'auxiliaires aux forces de police de la bourgeoisie. »
« Ironie de l'Histoire : jadis la Bourgeoisie puisait dans ses rangs
les Cavaignac et Galliffet [en France ceux qui écrasèrent dans le
sang la Commune de Paris, note de wen], les Trepov et les Wrangel.
Aujourd'hui c'est sous la "glorieuse" [formule de dérision, note de wen]
direction des deux Internationales que des prolétaires remplissent, eux-
mêmes, le rôle de bourreaux de leurs propres camarades. La bourgeoisie
peut vaquer tranquillement à ses affaires; partout règnent « l'ordre et la
tranquillité » : il y a encore des Noske et des Ejov, des Negrin et
des Diaz. Staline est leur chef et Feuchtwanger leur Homère ! »
« Non, je n'en peux plus. Je reprends ma liberté. Je reviens à Lénine,
à son enseignement et à son action ! ».
« J'entends consacrer mes modestes forces à la cause de Lénine :
je veux combattre, car seule notre victoire – la victoire de la révolution
prolétarienne – libérera l'humanité du capitalisme et l'Union soviétique
du stalinisme ! »
« En avant vers de nouveaux combats pour le socialisme et la révolution
prolétarienne ! Pour la construction de la IV° Internationale ! »
Ludwig (Ignace REISS), le 17 juillet 1937.
P.S. : En 1928 j'ai été décoré à l'Ordre du « Drapeau Rouge », pour
services rendus à la révolution prolétarienne. Je vous renvoie cette
décoration ci jointe. Il serait contraire à ma dignité de la porter en
même temps que les bourreaux des meilleurs représentants de la
classe ouvrière russe. Les Izvestia ont publiés au cours des deux
dernières semaines des listes de nouveaux décorés dont les fonctions
sont passées pudiquement sous silence : ce sont les exécutants des
peines de mort.
NOTES :
[1] Inculpés du premier procès de Moscou.
[2] Plébiscite réclamé en Saxe par les nationaux-socialistes contre
le gouvernement social-démocrate et soutenu par les communistes.
[3] Staline avait déclaré, en mai 1935, au journaliste américain Roy
Howard que l'idée que l'URSS pouvait encourager une révolution
socialiste mondiale relevait de la " tragi-comédie ".
***********************************************************************************
Ainsi, c'est en route pour rejoindre Trotsky et la IV° INTERNATIONALE,
notamment avec l'aide d'un des fils de Trotsky, Lev Sedov, (qui attendait
en France), qu'Ignace Reiss fut sauvagement exécuté par la main du Kremlin.
Et ceci dans la même période que toute la « vieille garde Bolchevique » et
sa « jeune garde » (dont les 2 fils de Trotsky et près de 100 membres de la
famille de Léon Davidovitch Trotsky portant son nom de famille : Bronstein)
Cette traque, la répression à outrance, les procès truqués, les meurtres
de masses, rendent indécents et méprisables ceux qui, 90 ans après
la révolution d'octobre 1917, tentent (tel S. Courtois) de mettre un
signe égal entre les bourreaux et les victimes !
C'est à dire entre le Communisme Bolchevique Internationaliste et
l'anti-communisme totalitaire des stalino-fascistes !
Le mobil des falsifications qui plaide pour cet amalgame est simple :
Tenter d'enrayer une nouvelle révolution anti capitaliste, qui réussirait,
cette fois, à mettre à bas le régime de la propriété privée des moyens
de production, le système de l'exploitation d'une immense majorité
d'hommes par une toute petite minorité d'individus sans aucun scrupule.
Cete petite minorité d'impérialistes ne lésine pas pour se "payer"
les médias, les politiciens, les agents du FMI et des ONG.
Le sujet abordé ici ne doit pas non plus occulter que si le stalinisme
a fait des millions de morts, le système bourgeois (qui, pour son profit,
en est à sa « 4° Guerre Mondiale », cf. G W Bush) a tué bien plus de
gens que les avatars du communisme !
De plus, il faut que ça se sache, l'ONU (à elle seule) à cautionné et
organisé un nombre de victimes qui s’approche largement du milliard :
Et ceci, directement par les guerres et leurs conséquences, et indirectement,
par l’organisation de l’insularité, de l’oppression, des maladies et de la
malnutrition.
Vive la démocratie, vive la révolution socialiste internationale :
wen.
PS : On notera que ce que je dis ici pousse maintenant, la cohorte puante
des falsificateurs, à remonter (dans leur déchaînement d’infamie) bien plus
avant que Lénine ou Marx, mais à remettre en cause le jacobinisme et
à verser des larmes (de crocodiles) sur les Anciens Régimes monarchistes
et chrétiens :
Comme c’est le cas de Soljenitsyne et Courtois (par exemple), mais aussi
des édiles, journalistes et penseurs de l’UE (Union Européenne), bref de toute
cette racaille de « Maastrichtiens de garde » !
1937 : C'est à la suite de l'envoi de cette lettre qu'Ignace Reiss,
sur le chemin de l'exil pour rejoindre Trotsky et la IV° Internationale
tombera, victime d'un guet-apens commandité par Staline, près
de Lausanne, le 4 septembre 1937.
Ignace REISS -1937- assassiné par Staline :
*******************************************************************************
Lettre au Comité Central du Parti Communiste de l'Union
Soviétique d'Ignace Reiss (Ludwig)
17 juillet 1937 :
« La lettre que je vous écris aujourd'hui j'aurais dû vous l'écrire
depuis longtemps déjà, le jour où les « Seize » [1] furent massacrés
dans les caves de la Loubianka, sur l'ordre du « Père des Peuples ».
Je me suis tu alors. Je n'ai pas élevé la voix non plus pour protester
lors des assassinats qui ont suivi, et ce silence fait peser sur moi
une lourde responsabilité. »
« Ma faute est grande, mais je m'efforcerai de la réparer, et de la
réparer vite afin d'alléger ma conscience. Jusqu'alors j'ai marché
avec vous. Je ne ferai pas un pas de plus à vos côtés. Nos chemins
divergent ! Celui qui se tait aujourd'hui se fait complice de Staline
et trahit la cause de la classe ouvrière et du socialisme ! »
« Je me bats pour le socialisme depuis l'âge de vingt ans. Sur le seuil
de la quarantaine, je ne veux pas vivre des faveurs d'un Ejov. »
« J'ai derrière moi seize années de travail clandestin. C'est quelque
chose, mais il me reste assez de forces pour tout recommencer. Car
il s'agit bien de « TOUT RECOMMENCER :
De sauver le SOCIALISME. »
« La lutte s´est engagée il y a longtemps déjà [allusion à l’opposition
de gauche et à Trotsky, note de wen]. Je veux y reprendre ma place.
Le tapage organisé autour des aviateurs qui survolent le Pôle vise à
étouffer les cris et les gémissements des victimes torturées à la
Loubianka, à la Svobodnaia, à Minsk, à Kiev, à Leningrad, à Tiflis. »
« Ces efforts sont vains. La parole, la parole de la vérité, est plus forte
que le vacarme des moteurs les plus puissants. »
« Les recordmen de l'aviation, il est vrai, toucheront les cœurs des
ladies américaines et de la jeunesse des deux continents intoxiqués
par le sport, plus facilement que nous arriverons à conquérir l'opinion
internationale et à émouvoir la conscience du monde ! »
« Que l'on ne s'y trompe pourtant pas : la vérité se fraiera son chemin,
le jour de la vérité est plus proche, bien plus proche que ne le pensent
les seigneurs du Kremlin. Le jour est proche où le SOCIALISME
INTERNATIONAL [pléonasme volontaire de Reiss, note de wen] jugera
les crimes commis au cours des dix dernières années. Rien ne sera
oublié, rien ne sera pardonné. L'histoire est sévère : « le chef génial,
le père des peuples, le soleil du socialisme », rendra compte de ses
actes : la défaite de la révolution chinoise, le plébiscite rouge [2],
l'écrasement du prolétariat allemand, le social-fascisme et le Front
populaire, les confidences à Howard [3], le flirt attendri avec Laval :
toutes choses plus géniales les unes que les autres ? »
« Ce procès-là sera public, avec des témoins, une multitude de témoins,
morts ou vivants ; ils parleront tous une fois encore, mais cette fois
pour dire la vérité, toute la vérité. Ils comparaîtront tous, ces innocents
massacrés et calomniés, et le mouvement ouvrier international les
réhabilitera tous, ces Kamenev et ces Mratchkovski, ces Smirnov et
ces Mouralov, ces Drobnis et ces Serebriakov, ces Mdivani et ces
Okoudjava, ces Rakovski et ces Andrès Nin, tous ces « espions et
ces provocateurs, tous ces agents de la Gestapo et ces saboteurs »."
« Pour que l'Union soviétique et le mouvement ouvrier international
tout entier ne succombent pas définitivement sous les coups de la
contre-révolution ouverte et du fascisme, le mouvement ouvrier doit
se débarrasser de ses Staline et de son stalinisme. Ce mélange du
pire des opportunismes - un opportunisme sans principes - de sang
et de mensonges menace d'empoisonner le monde entier et
d'anéantir les restes du mouvement ouvrier. »
« Lutte sans merci contre le stalinisme ! »
« Non au front populaire, oui à la lutte des classes ! Oui à l'intervention
du prolétariat pour sauver la révolution espagnole : telles sont les tâches
à l'ordre du jour ! »
« A bas le mensonge du " SOCIALISME DANS UN SEUL PAYS " ! »
« Retour à l'internationalisme de Lénine !
« Ni la II°, ni la III° Internationale ne sont plus capables d'accomplir
cette mission historique : désagrégées et corrompues, elles ne peuvent
empêcher la classe ouvrière de combattre ; elles ne servent que
d'auxiliaires aux forces de police de la bourgeoisie. »
« Ironie de l'Histoire : jadis la Bourgeoisie puisait dans ses rangs
les Cavaignac et Galliffet [en France ceux qui écrasèrent dans le
sang la Commune de Paris, note de wen], les Trepov et les Wrangel.
Aujourd'hui c'est sous la "glorieuse" [formule de dérision, note de wen]
direction des deux Internationales que des prolétaires remplissent, eux-
mêmes, le rôle de bourreaux de leurs propres camarades. La bourgeoisie
peut vaquer tranquillement à ses affaires; partout règnent « l'ordre et la
tranquillité » : il y a encore des Noske et des Ejov, des Negrin et
des Diaz. Staline est leur chef et Feuchtwanger leur Homère ! »
« Non, je n'en peux plus. Je reprends ma liberté. Je reviens à Lénine,
à son enseignement et à son action ! ».
« J'entends consacrer mes modestes forces à la cause de Lénine :
je veux combattre, car seule notre victoire – la victoire de la révolution
prolétarienne – libérera l'humanité du capitalisme et l'Union soviétique
du stalinisme ! »
« En avant vers de nouveaux combats pour le socialisme et la révolution
prolétarienne ! Pour la construction de la IV° Internationale ! »
Ludwig (Ignace REISS), le 17 juillet 1937.
P.S. : En 1928 j'ai été décoré à l'Ordre du « Drapeau Rouge », pour
services rendus à la révolution prolétarienne. Je vous renvoie cette
décoration ci jointe. Il serait contraire à ma dignité de la porter en
même temps que les bourreaux des meilleurs représentants de la
classe ouvrière russe. Les Izvestia ont publiés au cours des deux
dernières semaines des listes de nouveaux décorés dont les fonctions
sont passées pudiquement sous silence : ce sont les exécutants des
peines de mort.
NOTES :
[1] Inculpés du premier procès de Moscou.
[2] Plébiscite réclamé en Saxe par les nationaux-socialistes contre
le gouvernement social-démocrate et soutenu par les communistes.
[3] Staline avait déclaré, en mai 1935, au journaliste américain Roy
Howard que l'idée que l'URSS pouvait encourager une révolution
socialiste mondiale relevait de la " tragi-comédie ".
***********************************************************************************
Ainsi, c'est en route pour rejoindre Trotsky et la IV° INTERNATIONALE,
notamment avec l'aide d'un des fils de Trotsky, Lev Sedov, (qui attendait
en France), qu'Ignace Reiss fut sauvagement exécuté par la main du Kremlin.
Et ceci dans la même période que toute la « vieille garde Bolchevique » et
sa « jeune garde » (dont les 2 fils de Trotsky et près de 100 membres de la
famille de Léon Davidovitch Trotsky portant son nom de famille : Bronstein)
Cette traque, la répression à outrance, les procès truqués, les meurtres
de masses, rendent indécents et méprisables ceux qui, 90 ans après
la révolution d'octobre 1917, tentent (tel S. Courtois) de mettre un
signe égal entre les bourreaux et les victimes !
C'est à dire entre le Communisme Bolchevique Internationaliste et
l'anti-communisme totalitaire des stalino-fascistes !
Le mobil des falsifications qui plaide pour cet amalgame est simple :
Tenter d'enrayer une nouvelle révolution anti capitaliste, qui réussirait,
cette fois, à mettre à bas le régime de la propriété privée des moyens
de production, le système de l'exploitation d'une immense majorité
d'hommes par une toute petite minorité d'individus sans aucun scrupule.
Cete petite minorité d'impérialistes ne lésine pas pour se "payer"
les médias, les politiciens, les agents du FMI et des ONG.
Le sujet abordé ici ne doit pas non plus occulter que si le stalinisme
a fait des millions de morts, le système bourgeois (qui, pour son profit,
en est à sa « 4° Guerre Mondiale », cf. G W Bush) a tué bien plus de
gens que les avatars du communisme !
De plus, il faut que ça se sache, l'ONU (à elle seule) à cautionné et
organisé un nombre de victimes qui s’approche largement du milliard :
Et ceci, directement par les guerres et leurs conséquences, et indirectement,
par l’organisation de l’insularité, de l’oppression, des maladies et de la
malnutrition.
Vive la démocratie, vive la révolution socialiste internationale :
wen.
PS : On notera que ce que je dis ici pousse maintenant, la cohorte puante
des falsificateurs, à remonter (dans leur déchaînement d’infamie) bien plus
avant que Lénine ou Marx, mais à remettre en cause le jacobinisme et
à verser des larmes (de crocodiles) sur les Anciens Régimes monarchistes
et chrétiens :
Comme c’est le cas de Soljenitsyne et Courtois (par exemple), mais aussi
des édiles, journalistes et penseurs de l’UE (Union Européenne), bref de toute
cette racaille de « Maastrichtiens de garde » !